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Rick86

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  1. A costo di essere linciato lo dico: guarda che un "carro" per le missioni di pace (e non solo) lo abbiamo già: il Centauro. Che carro armato non è, e lo so benissimo, ma pesa 20t in meno, ha un cannone simile e una buona protezione balistica. Inoltre, grazie alle ruote, da meno problemi (anzi, non ne da affatto) su ponti, strade, ecc. E anche qui, a proposito di aggiornamenti, a quando il 120mm al posto dei vecchi 105? Sui... ehm.. Tornado "da ricognizione" (con sistema da ricognizione al suolo mk 82 )... non sono tanto d'accordo. Quello che a noi serve è un aereo per fare CAS, per tirare fuori dai guai una pattuglia accerchiata o, al più, un po di aria suolo ogni volta (e sono tante) che arriva voce di una colonna di talebani senza aver niente vicino da mandare. Sono tutti compiti ideali per un AMX: il maggior vantaggio del Tornado in termini di carico bellico, dimensione delle bombe e autonomia, conta poco a fronte dei costi in più: anche qui la scelta è stata solo politica, per fare i grossi davanti agli USA.
  2. Questa è una lettera aperta di un gruppo di ufficiali generali e superiori (tenuti all'anonimato, quindi firmatisi Surcouf) delle tre armi francesi inviata ieri a Le Figaro: contiene critiche pesatissime al libro bianco: Livre blanc sur la défense : une espérance déçue Par le groupe «Surcouf» 18/06/2008 | Mise à jour : 18:26 | Commentaires 206 . Un groupe d'officiers généraux et supérieurs des trois armées terre, air, mer , tenu à l'anonymat, commente le livre blanc sur la défense et la sécurité nationale présenté le 17 juin par le président de la République. Les éléments de la nouvelle politique de défense qui viennent d'être rendus publics ont été, ce qui est bien normal, présentés par leurs auteurs d'une manière très encourageante. La réalité est quelque peu différente. Personne ne peut, ou ne souhaite, à l'intérieur des armées, mettre en cause les choix politiques du jour. D'abord, ils sont incontestables par nature. Ensuite, le souhait du président de la République, chef des armées, est de disposer d'un instrument militaire plus efficace pour un moindre coût ; de raisonner en termes d'efficacité et non d'équipements de prestige ; de faire preuve de réalisme quant aux menaces ; et enfin de ne se laisser arrêter par aucun a priori dogmatique. Ce souhait ne peut rencontrer que l'approbation de tous ceux qui ont fait le choix de la carrière des armes et qui ont souffert, ces dernières années, de l'immobilisme des institutions de défense. Et, dirions-nous, plus que l'approbation, le désir, avec volonté et discipline, de faire passer ce souhait dans la réalité. La vérité oblige à dire, cependant, qu'au-delà des déclarations, la volonté présidentielle a été largement dénaturée par ceux, politiques, militaires ou personnalités qualifiées, qui avaient la charge de la mettre en œuvre. Voici pourquoi. Dès avant l'élection présidentielle et comme le président de la République l'avait bien vu, le système militaire français était à bout de souffle. En termes, tout d'abord, de capacités opérationnelles réelles : à cause du choix dicté par les groupes de pression de programmes d'équipement, sans considération particulière pour les nécessités nées de la réalité des engagements (cela aboutit, par exemple et dès cette année, à une rupture de la capacité de transport aérien stratégique, ce qui est à tout le moins regrettable pour une armée très engagée à l'extérieur) ; à cause de l'interdiction faite par les autorités politiques de l'époque à l'état-major des armées de poursuivre une véritable «étude capacitaire», qui eût révélé que, comme de nombreuses fois au cours de notre histoire militaire, une conception de la défense centrée sur les «programmes d'équipement» aboutissait à une dépense publique considérable pour une utilité opérationnelle faible ; avec en résultante, une «impasse financière» mettant en cause la crédibilité même du gouvernement dans son exécution des lois de programmation militaire. Ensuite, en termes de choix des engagements, la situation n'était pas plus satisfaisante. L'absence de critères politico-militaires d'intervention, le flou des priorités géopolitiques (Afrique), l'absence de gestion des engagements dans le temps (Kosovo) aboutissaient à un saupoudrage de forces dicté par les habitudes du passé et la logique moutonnière de la participation obligatoire («il faut en être»). Il en résultait un rythme d'emploi soutenu, indifférencié, affectant des unités aux équipements vieillissants, dégradant leur niveau de préparation opérationnelle. Et, dans l'autre sens, alors que les menaces terroristes prenaient plus d'ampleur, le gouvernement comme les armées se refusaient même à penser l'action militaire sur le territoire national, à partir d'un contrat opérationnel distinct (à la notable exception de l'action de l'État en mer). Enfin, en termes d'organisation, la situation était marquée par une grande confusion. Les choix d'interventions étaient opaques, ne donnant lieu à aucun débat, notamment parlementaire, à l'extérieur du cercle présidentiel, ce qui, les phénomènes de cour et les ambitions personnelles aidant, n'était certes pas un facteur de qualité des analyses préalables à la décision. La nouvelle définition des pouvoirs du chef d'état-major des armées n'avait entraîné aucune véritable réflexion, fondée sur la subsidiarité, entre la logique interarmées et la logique de milieu, notamment pour le soutien. Les organisations militaires restaient lourdes, «doublonnantes», peu centrées sur l'opérationnel. Les désignations aux postes les plus importants étaient délibérées entre militaires sur le fondement des couleurs d'uniforme, dans le cadre d'un «troc» presque permanent, aboutissant d'ailleurs à une durée d'exercice des responsabilités abusivement courte. La procédure de choix des programmes d'équipement, entre la direction générale pour l'armement (DGA) et les états-majors, était caractérisée par l'opacité et le conflit d'intérêt (le «service aux industriels») aboutissant à la dérive de coûts opaques, non maîtrisés, et à l'inadaptation des équipements. C'est dire si le début du quinquennat avait fait naître les plus grands espoirs. Il est malheureusement probable aujourd'hui qu'ils seront déçus. Tout d'abord, les instances de la décision n'ont pas fonctionné de manière satisfaisante, la mission budgétaire de la révision générale des politiques publiques (RGPP) ayant prévalu, y compris en termes calendaires, sur la mission conceptuelle du livre blanc. Quant à cette dernière, la sous-représentation des militaires compétents n'a pas permis d'y effectuer un travail réaliste, ce que ses conclusions montrent à l'évidence. L'ampleur enfin des conflits structurels internes propres au ministère de la Défense n'a pas permis un travail serein. Plusieurs points positifs sont à relever : le principe du resserrement des implantations (dont il faudra attendre la mise en œuvre, les militaires étant habitués à ce que les logiques politiques locales prévalent, ce qui est le cas depuis plus de vingt ans). L'insistance mise sur la protection «interne» de la nation elle-même, en termes d'organisation centrale et de contrat opérationnel. La revalorisation des fonctions de renseignement. Pour le reste, le modèle d'analyse présenté par le livre blanc est à notre sens déficient et, davantage, marqué par un certain amateurisme. Le livre blanc souffre en effet d'une quadruple incohérence. Incohérence, tout d'abord, par rapport à l'évolution générale des crises et des réponses généralement adoptées dans le monde. Alors que les crises se multiplient et se superposent sans se résoudre, l'Europe en général et la France en particulier diminuent leur effort de défense au moment même où chacun les augmente (les dépenses militaires mondiales ont progressé de 45 % en dix ans). On ne peut certes nier la crise budgétaire. Au moins devrait-elle donner lieu à une analyse «priorisante» des arbitrages, entre la défense et les autres budgets, et à l'intérieur du budget de la défense. Le livre blanc n'en fournit pas l'armature conceptuelle, puisqu'au titre des menaces il retient à la fois l'attentat terroriste, la guerre de haute intensité, le désordre dans le tiers-monde et la pandémie grippale. Incohérence, ensuite, par rapport à l'évolution de la «conflictualité», le paradigme de la «guerre industrielle» (entre arsenaux étatiques) ayant été remplacé par celui de la «guerre bâtarde», le plus souvent «au sein des populations». Ce dernier exige à la fois des forces terrestres plus nombreuses, une capacité de projection aérienne et navale plus affirmée, une réorientation des programmes en conséquence. Ces choix ont été faits par les Britanniques voici plus de cinq ans. Nous en sommes, nous, à la diminution des effectifs de l'armée de terre et au «report» de la décision de construire le deuxième porte-avions, qui signe une rupture capacitaire majeure. Notre incapacité à sortir de la «réduction homothétique», faute d'une véritable analyse que le livre blanc ne fournit pas, conduit le modèle 2008 à n'être que la version dégradée du modèle 1996, lui-même version amoindrie du modèle 1989. Autant dire qu'aucun choix sérieux, hors celui, purement budgétaire, d'une réduction proportionnelle, n'aura été fait depuis vingt ans. Sous ce rapport, la nouvelle orientation en faveur du satellitaire ou la création d'un «commandement interarmées de l'espace» font figure de gadgets, lorsqu'on connaît les besoins réels et actuels des armées. Non que de telles mesures soient en elles-mêmes absurdes. Mais elles ne pourraient valoir que si elles procédaient d'une véritable analyse doctrinale et pratique de la «conflictualité», fondée sur les exemples nombreux que présente l'actualité, du Proche-Orient à l'Asie centrale. Cette analyse est absente du livre blanc. Les «avancées» qu'il présente (satellites, etc.) ressemblent à des lubies parce qu'elles ne sont pas sérieusement argumentées en termes d'arbitrage (alors qu'on voit les intérêts industriels qu'elles servent). Une réduction prévisible et sans imagination du format des armées, à peine compensée par d'hypothétiques innovations technologiques et organisationnelles : il y a comme une imposture à présenter ces résultats comme un progrès dans l'efficacité de l'instrument militaire. Incohérence, en troisième lieu, par rapport à la volonté politique affichée à juste titre par le chef de l'État. Nous revenons dans l'Otan, avec une capacité militaire affaiblie, et tout en y revendiquant des postes de commandement. Nous prétendons faire de la politique européenne de sécurité et de défense (PESD) un dossier majeur du renforcement de la défense européenne sous présidence française, et nous baissons la garde au moment où nous souhaitons entraîner nos partenaires vers un renforcement de la défense européenne. Mais surtout, nous abandonnons aux Britanniques le leadership militaire européen, alors que nous connaissons la nature particulière de leurs relations avec les États-Unis. La France jouera désormais dans la division de l'Italie. Il est inutile de se payer de mots. Incohérence, en quatrième lieu, par rapport à la seule certitude que nous ayons : celle de nous engager vingt fois en Afrique dans les années qui viennent, pour y éviter des catastrophes humanitaires ou assurer l'évacuation de nos ressortissants. Si nous pouvons le faire aujourd'hui, c'est parce que notre réseau de bases nous confère une efficacité d'autant plus unique que l'ensemble des pays africains refuse le déploiement de l'US african command (commandement américain en Afrique) sur le sol africain. Pour gagner, et ceci est révélateur de la méthode retenue, 3 000 postes budgétaires, nous affaiblissons de manière définitive notre positionnement, avec ce paradoxe que nos abandons vont conduire mécaniquement à un accroissement du nombre de crises que nous ne pourrons plus prévenir et dans lesquelles nous ne pourrons intervenir qu'à un coût incomparablement plus élevé. En contrepartie, les structures administratives intermédiaires des états-majors n'ont pas été touchées par l'exercice RGPP, alors qu'elles représentaient un gisement d'économies d'au moins le double. Quant aux «bases de défense», il ne s'agira, faute de crédits budgétaires pour de vrais investissements d'infrastructure, que de circonscriptions administratives de mutualisation de certaines dépenses mineures (habillement, restauration, etc.), entraînant simplement la création d'un maillage administratif supplémentaire. La mise en regard de ces deux éléments permet de mesurer le caractère de trompe-l'œil des mesures présentées ces jours-ci. Le propos de cet article n'est pas de présenter le modèle qu'une réflexion plus avisée, et plus conforme aux volontés du chef de l'État, aurait permis d'élaborer. Nous voulons simplement souligner qu'une grande dépense d'énergie intellectuelle a simplement abouti à une réduction homothétique du format des armées. Au mieux, nous serons mieux renseignés, mais nous pourrons moins agir. Il eût fallu, au contraire, mieux définir les ambitions militaires de la France, puis ses priorités géostratégiques, y compris en termes concrets, en désignant les théâtres utiles ; en déduire un modèle pour notre armée et ses équipements, sans se refuser à porter le fer dans l'organisation militaire ou dans celle de la DGA ; ne pas s'illusionner sur les bénéfices à attendre de la «mutualisation des soutiens», dans un domaine où l'expérience (notamment britannique) enseigne qu'elle ne peut concerner que des secteurs de second ordre, la «logique de milieu» continuant de gouverner l'entretien des équipements majeurs. Pour ne l'avoir pas fait, les autorités de la défense ont laissé passer l'occasion historique que leur présentaient les circonstances et que justifiaient les ambitions du chef de l'État. Le reste est affaire de communication politique, qui ne saurait masquer la réalité d'un véritable déclassement militaire de notre pays, dans un monde bien plus dangereux qu'hier.
  3. E vista la situazione geo-politica dei deserti la cosa non è molto consigliabile, almeno per ora. Altro vantaggio dell'Uranio, a proposito, visto che tre dei quattro maggiori produttori sono paesi occidentali o comunque sicuramente amici e il quarto, il kazakhstan, non si puo dire in una situazione simile a quella che c'è in MO
  4. Rick86

    Marine Nationale

    L'idea è molto bella e la quoto. L'aereo sarà il Rafaele imbarcato, non l'F-35B e l'AEW sarà l'E2 (o, sogno nel cassetto, un nuovo progetto europeo e comunque non il pur ottimo EH-101). Perchè no? Tra l'altro un altro vantaggio dei programmi multinazionali è la difficoltà a stopparli.
  5. Rick86

    Marine Nationale

    Picpus, c'è poco da dire: me ne dispiace molto (seriamente preferisco una MN forte ad una MN ridimensionata, in ottica di potere europeo) ma la realtà è che questa è stata una bastonata pesantissima per tutte e tre le FF.AA. ma per la Marina in particolare: 11 FREMM e cancellazione della PA2 sono un colpo non da poco. E guarda che dico cancellazione non a caso perchè: - intanto non è scontato (anzi, è il contrario, che nel 2012 venga data luce verde - poi perchè il 2020 mi pare una data molto ottimista se devi riprogettare la nave da capo e costruirla con un reattore nucleare - infine, pensa solo ai ritardi di costruzione della CdG Tutto ciò riduce la finestra di tempo in cui avranno due PA a disposizione a 5, massimo massimo 10 anni: in pratica si ritroveranno ben che gli vada in una situazione di incertezza come lo siamo noi adesso con la sostituzione della GG (anzi, di più che noi abbiamo 15 anni dall'entrata in servizio del Cavour, loro 10 se va tutto liscio)
  6. Non capisco la riduzione dei soldati proiettabili se si vuole mantenere le medesime capacità operative. Comunque, la cosa è sensata, 50.000 uomini erano troppi, ma sempre di riduzione (anche se giustificata) delle capacità operative si tratta. Comunque chi ne esce veramente bastonata è Marine Nationale che deve dire addio ad 1/3 delle FREMM e, sopratutto, alla PA2
  7. Rick86

    Sottomarini

    Chiedo venia sui tubi lanciasiluri.... Sono 6
  8. Rick86

    Sottomarini

    16 i siluri imbarcabili sui Todaro (di cui 8 nei tubi). Lo Scalp è fisicamente compatibile con i Todaro: ne parlavo con Sangria da qualche parte su questo forum. Fisicamente nel senso che i missili sono progettati per essere lanciati dai tubi da 533mm dei Barracuda francesi, e quindi sono compatibili anche con i tubi da 533mm del Todaro (che, unica condizione fisica necessaria per l'uso di missili, non sono del tipo che il siluro deve uscire con il suo motore dal tubo ma lo "sparano" con un getto d'aria compressa. Sorry non so la terminologia esatta ma sono certo della cosa). Il problema è l'elettronica, e il sistema di combattimento in particolare, che va aggiornato (e la cosa è fattibile ma costosa non essendo ad architettura aperta) per poter programmare ed impiegare i missili. In ogni caso un Todaro armato con 8 Scalp (8 siluri per autodifesa mi paiono il minimo) non mi pare una ipotesi così ridicola: darebbe al paese un minimo di deterrenza convenzionale e permetterebbe, in caso di necessità, di colpire degli obiettivi ad alto valore senza grossi rischi.
  9. Alcune considerazioni però si potrebbero fare, guardando anche a come vengono parcheggiati gli Harrier sul Cavour: - intanto l'Hangar, che in origine doveva permettere di imbarcare gli F-35 su due file, per pochi cm (a causa dell'ingrassamento dell'aereo) può permettersi di imbarcare solo una fila di 8 F-35 lasciando però un considerevole spazio a lato per manutenzione ed operazioni varie, e anche per qualche eli. Questo numero lo darei per ottimale nell'hangar: che poi, sfasando leggermente gli aerei, si possa arrivare a due file, beh, è tutto da vedere. - sul ponte del GG, ed è abitudine comune un po ovunque per ovvi motivi, gli Harrier vengono parcheggiati solo in poppa ma qui non ci si fa grossi problemi ad affiancarli stretti. Questo è un esempio della Hermes in assetto operativo, che anche se d'emergenza ha dimostrato funzionare (erano le Falkland): Direi che non avremmo problemi di sorta con anche 11 aerei in poppa. Per gli elicotteri il problema è minore, visto lo spazio che occupano. A fianco dell'isola, in prua (sia nello spot sia nei parcheggi) e nell'hangar abbiamo spazio. Tirando le somme, 18 F-35 e 7 EH-101 sono assolutamente sostenibili secondo me. Probabilmente ce ne starebbe anche qualcuno in più ma, qui si, per alzare l'asticella tocca aspettare le prove.
  10. Lupus, grazie per la risposta. Io però (in effetti sono stato poco chiaro) mi riferivo ai colpi da 105 delle Centauro, non alle armi leggere (se non sbaglio 40.000 colpi in una giornata....). Comunque, se puoi e hai tempo, mi piacerebbe molto che raccontassi la tua esperienza durante la battaglia dei ponti Ciao Riccardo
  11. Scusatemi, pensavo fosse ovvio e invece sono stato frainteso. Niente in contrario sui Carabinieri, anzi, la consideravo fin dall'inizio la soluzione migliore. La presa in giro si riferisce all'aver propagandato ai 4 venti l'uso di 2500 soldati per poi accorgersi (ma va!) che la soluzione più sensata era la prima brigata dei carabinieri. Ora io e voi sappiamo che i carabinieri sono militari, ma nella percezione della gente ne passa di strada dal vedere un parà della Folgore armato di AR70/90 invece di un carabiniere. Quindi la propaganda si riferisce allo sbandierato invio dei soldati, così tutti si immaginano fanti in mimetica per le strade, per poi specificare che i militari sono carabinieri che da sempre, e con ottimi risultati, pattugliano le strade. E allora perchè non è stato detto da subito: aumenteremo i carabinieri per le strade? Spero sia chiaro adesso.
  12. Divino e superiore moderatore, giudice massimo di tutti i nostri discorsi....... AUGURI!!!! :compleanno:
  13. Ci credono tutti imbecilli LaRussa e Maroni? I 3000 soldati saranno, in massima parte, ....... (squilli di tromba e rullar di tamburi)........ CARABINIERI :asd: Semplicemente, come da tanti detto, saranno utilizzati i battaglioni mobili della prima Brigata CC.... Qualche centinaio di soldati, se ci saranno, avranno funzione puramente decorativa visti i numeri (e, state tranquilli, verranno messi nei punti di maggior visibilità mediatica). Non so voi, ma io mi sento molto preso in giro...
  14. Guarda che non c'è nulla di strano: con quello che costano gli aerei moderni tutte le maggiori aviazioni europee si sono adeguate. La RAF prevede di rimanere con 280 aerei di prima linea e l'AdA con 230, e sono entrambe forze armate con budget ben superiori ai nostri. La Luftwaffe si ridurrà a 180 (160 più probabilmente) EFA e nient'altro. La Svenska Flygvpanet scenderà a soli 100 Gripen (e si parla addirittura di 60 operativi...). Sono i megalomani pianificatori AMI che lavorano fuori dalla realtà: semplicemente 260 tra F-35 e EFA è assurdo: si arriverà a circa 180 - 200 aerei di prima linea, divisi in egual numero tra EFA ed F-35 e, visto come stanno gli altri, mi paiono numeri assolutamente sensati
  15. Concordo anch'io. Solo una cosa su Nassyria: avevo letto che vi era vietato usare i cannoni da 105 delle Centauro (o, meglio, dovevate chiedere autorizzazione a Roma). Dovrebbe essere questo il motivo per cui non hanno quasi sparato (o non hanno sparato del tutto).
  16. Semplicemente non siamo in grado ne di pagare ne di sostenere 121 EFA e 131 F-35 e quindi, visto che il ritirarsi dalla T3 comporterebbe il pagamento di penali pesantissime, si cerca di vendere ad altri i T1 (che verranno tutti (quasi) portati allo standard Block 5) per avere i soldi per acquistare i T3 (che tra l'altro, sono un aereo molto diverso (brevemente: no Meteor, no Iris-T digitale, DASS solo IOC e tante altre limitazioni per i T1; e mi sono limitato solo all'a/a.....)
  17. Qui hai ragione, aspettiamo di vedere le ROE. Permettimi però, conoscendo l'Italia, di essere scettico. In ogni caso si tratta di cosa ben diversa dal Vigipirate francese (che invece condivido). Vedi quello che manca secondo me, all'infuori del numero (limitato sia in termini assoluti sia in termini di dimensioni del territorio da controllare), è il motivo che porta l'esercito nelle strade. Non mi fraintendere, non intendo dire che non abbiamo criminalità, intendo dire che non vedo un motivo ben preciso, un emergenza nuova e che si è adesso presentata e/o si è adesso presentato il sistema per risolverla (come, spero, sarà per i rifiuti in Campania, caso ben diverso da questo). Una qualsiasi operazione militare presuppone un obiettivo strategico ben definito e raggiungibile: ciò porta alla definizione di un certo numero di obiettivi tattici, delle ROE e delle forze necessarie al successo. Ma senza un chiaro disegno strategico, cade tutto. Ecco, questo è quello che (mi pare perlomeno) manchi.
  18. Adesso si spiega tutto. Le foto sono scannerizzazioni di aeronautica e difesa; ho sfogliato il giornale e c'era un articolo sulla Cavour; nulla di nuovo, tranne qualche foto: quest'ultima postata da Typhoon è forse la più significativa: da l'idea degli spazi interni al nostro nuovo gioiellino
  19. Somalia. E' qui che il nostro paese potrebbe essere obbligato a giocare una partita ben più difficile di quella libanese. Sono andato a pescare questa frase, risale alla campagna elettorale: "Il PD, soprattutto nelle ultime dichiarazioni di Parisi, sembra pervaso da un lucido pessimismo; nessuno lo dice a chiare lettere, usano circonlocuzioni, si rifugiano nel politichese, ma sembrano ipotizzare negli anni futuri un coinvolgimento diretto dell’Italia in qualche crisi internazionale (nel Mediterraneo? nel Mar Rosso?)". Nel Libano poi, se le cose si mettono male, l'impegno diverrà pesante. Ed anche se ci ritirassimo, dopo due missioni da protagonisti nel loro paese, inevitabilmente non potremo non farci coinvolgere in qualche altra "grana". Il MO tutto, i motivi sono palesi: petrolio e risorse energetiche dalle quali dipende la sopravivenza del paese stesso. Ma a differenza delle prime due ipotesi, qui faremmo parte di una coalizione, sono problemi che riguardano tutto l'Occidente e non solo noi o qualche paese. Afghanistan, infine, ma in una prospettiva nefasta: nessuno ha mai pensato a come si dovrebbe svolgere e con quali assetti effettuare il ritiro dei nostri soldati?
  20. Anche secondo me è soltanto propaganda a spese del magrissimo bilancio della Difesa. Picpus, i militari impiegati nelle operazioni da te citate erano 1) molti di più, 2) avevano grossa libertà d'azione (incluso il poter, per esempio, effettuare posti di blocco in Sicila e 3) non solo erano di più di numero ma non erano diluiti sull'intero territorio nazionale 4) infine avevano un obiettivo ben preciso e non una generica lotta al crimine. Sul vigipirate poi, è una cosa ben diversa da una estemporanea (e un po campata in aria) misura emergenziale di soli 6 mesi: stabilisce 4 livelli di allerta e modula su ciò la risposta dell'esercito che, in condizioni normali, non partecipa alla sorveglianza del territorio salvo alcuni obiettivi a rischio terrorismo (aeroporti e tour eiffel per esempio) e non a rischio criminalità; la differenza è notevole: nessuno batte ciglio se un militare elimina con un AR70/90 un terrorista in procinto di farsi saltare in aria, ma la situazione è ben diversa se ad essere ucciso è un comune borseggiatore. Non avrei nulla in contrario se LaRussa avesse proposto un qualcosa di simile al Vigipirate. (maggiori info QUA) Poi, abbiamo circa 350.000 uomini delle FF.OO: mi spiegate l'utilità di 2500 soldati (un sacrificio notevole invece per il nostro esercito)? Militari tra l'altro che avranno ROE che gli impediranno di aprire il fuoco e che non hanno un addestramento specifico da forze dell'ordine
  21. Rick86

    Forze armate europee

    E' sfuggito a tutti la notizia che Sarkozy vorrebbe creare una TF navale battente bandiera europea? - i tedeschi dovrebbero mettere una FFG e una nave appoggio - gli inglesi una portaerei (e non la CdG per via della sua bassa disponibilità, parole dello stesso Sarko) - i francesi.... non lo so non l'ha specificato Considerazioni: visto che l'aereo standard imbarcato sarà l'F-35B nulla vieta di aggregare la Cavour. L'Italia penso sia stata esclusa più per la sua posizione geografica (Mediterraneo invece di Atlantico) che per l'adeguatezza della nostra flotta. Per ora sono solo parole, ma il progetto di una squadra navale comune franco-inglese non è nuovo ed è da un po che ci si sta lavorando; i francesi si sono limitati ad invitare i tedeschi
  22. Anche secondo me l'idea dell'Europa a due velocità è ormai l'unica strada praticabile. Però spero che la base comune, il minimo di integrazione che il trattato di Lisbona può dare (un vero e proprio compromesso al ribasso) sia condiviso da tutti e 27 i paesi dell'UE. Una cosa è certa: più in la di Lisbona, all'unaminità, non si può andare. Speriamo in Sarkozy
  23. Questo è il succo del discorso. Perchè è nato il Mangusta: perchè sulla soglia di Gorizia, grazie alla conformazione del terreno (collinoso/montagna) aveva una sua ragione d'essere contro le migliaia di MBT che i comunisti erano pronti a spedirci in casa. E di fatti noi siamo stati l'unico paese europeo ad impiegare elicotteri corazzati per molto tempo; non i tedeschi, che nella pianura e senza punti per nascondersi avevano poca speranza, e non i francesi che non avevano nessuno che li minacciasse direttamente. Solo dopo sono arrivati gli inglesi, che si sono costruiti su licenza l'Apache. Ma nessuno si era mai sognato di fare CAS con un eli. Lo ripeto, ciò non significa che sia sbagliato farlo contro dei talebani (anche se abbastanza rischioso): ma non è il sistema più efficace
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