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CAMPIONI D'ITALIA FORZA INTEEEEEEEEEEEEEEEEER
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Mosca: "Navi nel Mediterraneo e Atlantico
Graziani ha risposto a redDevil nella discussione Marina Militare
Se è per questo allora non è neanche inglese visto che molti articoli sono appunto in lingua inglese. -
Mosca: "Navi nel Mediterraneo e Atlantico
Graziani ha risposto a redDevil nella discussione Marina Militare
Des sous-marins dans le monde La menace sous-marine persiste depuis la fin de la guerre froide et reprend même de la vigueur un peu partout dans le monde. La flotte sous-marine militaire mondiale opérationnelle est constituée aujourd’hui de près de 400 plates-formes, dont 90 SNA. Ce nombre est en baisse de 50 % par rapport à la situation de 1986 où le maximum avait été atteint. Si le nombre global de sous-marins a diminué, le nombre de pays possédant des sous-marins classiques a en revanche augmenté constamment. Quarante-quatre nations possèdent aujourd’hui cette arme qui constitue à terme une menace pour le courant économique maritime et le déploiement des forces de surface, notamment en période de crise. Les sous-marins nucléaires dans le monde : SNLE et SNA Les cinq pays – États-Unis, Grande-Bretagne, Russie, Chine et France – qui possèdent une force océanique de dissuasion ont tous une flotte de SNA. Ces cinq pays sont, par ailleurs, les cinq membres du Conseil de sécurité de l’ONU. La France met en œuvre 6 SNA. Les Américains en possèdent 52, les Russes sont parvenus à 20, les Britanniques en détiennent 10 et les Chinois en possèdent 5. Tous ces pays préparent le renouvellement progressif et la modernisation de leurs sous-marins nucléaires. Deux autres pays ont ouvertement déclaré des programmes de sous-marins nucléaires : l’Inde et le Brésil. La répartition géographique de la flotte sous-marine La répartition des pays dotés de sous-marins est soumise à une évolution récente en faveur de la zone Asie-Pacifique. Plus de la moitié des sous-marins classiques en service dans le monde sont en effet localisés dans l’océan Pacifique et l’océan Indien ; notamment 52 chinois, 23 nord-coréens, 16 indiens, 16 japonais, 9 sud-coréens, 4 russes, 4 taïwanais et 4 singapourien. Le nombre de sous-marins localisés en Méditerranée reste quant à lui stable (46). Vers une augmentation du nombre d’unités La flotte mondiale devrait progresser dans les prochaines années avec la mise en service de nouvelles unités et l’arrivée de nouveaux acteurs. En particulier, les sous-marins à propulsion anaérobie (dits « AIP » – air préparent pendant propulsion –), aujourd’hui au nombre d’une dizaine, sont en train de croître sensiblement. On estime en effet à plus de 40 le nombre de ces sous-marins qui seront en service à partir de 2015. L’évolution de la menace Sous l’eau, l’évolution de la menace se caractérise par la discrétion croissante des sous-marins et l’amélioration des moyens de détection. À cet égard, l’apparition des sous-marins classiques AIP constitue une menace sérieuse. Ils sont particulièrement discrets, sans pour autant avoir la mobilité d’un SNA. Pour faire face à cette menace, l’effort des marines se porte naturellement sur la détection sous-marine. Trois axes d’évolution se dessinent dans le domaine acoustique : • le traitement des bruits transitoires fugitifs ; • l’emploi des sonars actifs à très basse fréquence qui augmente nettement la portée de détection sur les sous-marins ; • l’utilisation de la détection passive dans une large gamme de fréquences pour capter et analyser des bruits rayonnés par les navires et les sous-marins adverses. LA MARINE AMÉRICAINE La Marine américaine dispose d’un nombre important de SNA de générations différentes. • La série des sous-marins de type Los Angeles comporte deux générations, dont la dernière est équipée de systèmes de lancement vertical de missiles de croisière. • Dans les années 90, la Marine américaine a développé et lancé la construction d’une série de sous-marins de la classe Seawolf particulièrement performants mais d’un prix unitaire très élevé. Compte tenu des restrictions budgétaires, cette série a été limitée à trois sous-marins. • Une nouvelle série de 15 SNA (30 souhaités), de la classe Virginia, a récemment été lancée. Deux chantiers américains réalisent la fabrication de cette troisième véritable série de SNA. Le Virginia a un déplacement plus important (7 800 tonnes) que celui du Barracuda, ce qui lui permet d’être plus véloce et d’avoir une capacité de stockage en armes plus importante. Le premier sous-marin a été livré à l’US Navy en 2005, le second en 2006 et un troisième arrivera prochainement. À partir de 2010, deux Virginia entreront en service chaque année. LA MARINE BRITANNIQUE La Marine britannique disposait en 2007 de 10 SNA : 3 sous-marins de la classe Swiftsure et 7 sous-marins de la classe Trafalgar. Elle a entrepris la construction des SNA de la troisième génération de la classe Astute. La cible du programme est de 8 SNA, avec des missions analogues à celles retenues pour le programme Barracuda. En particulier, ces SNA mettront en oeuvre le missile de croisière Tomahawk, dont le lancement se fera à partir des tubes lance-torpilles, et non pas par l’intermédiaire de tubes verticaux, comme c’est le cas pour les SNA américains. L’Astute est presque aussi long que le Barracuda (97 m), mais il a un déplacement supérieur (7 200 tonnes) compte tenu de son diamètre plus important. Par rapport au Barracuda, il est ainsi plus rapide et possède une dotation en armes plus importante. Les trois premiers de la série ont été commandés en 1997 et sont construits par BAE Systems : • SSN Astute, mis sur cales le 31/02/01, ASA retardée à plusieurs reprises et prévue en 2009; • SSN Ambush, mis sur cales en 10/2003, ASA prévue en 2010; • SSN Artful, mis sur cales en mars 2005, ASA prévue en 2014. En 2003, le programme Astute accusait un retard de plus de 40 mois sur le planning initial. LA MARINE RUSSE Le format des forces sous-marines russes s’est resserré après la disparition de l’URSS. Mais cette flotte sous-marine n’a pas pour autant perdu son efficacité et sa valeur militaire. La Russie a en effet cherché à conserver ses meilleurs sous-marins, à en acquérir de nouveaux et à les améliorer technologiquement. La valeur opérationnelle de sa flotte de SNA tient en particulier aux Akula qui sont au niveau des meilleures réalisations occidentales. Trois sous-marins de ce type seraient en construction, sans doute en remplacement des Sierra III obsolescents. LA MARINE CHINOISE La Chine investit beaucoup dans les technologies sous-marines. Capable de concevoir des sous-marins nucléaires d’attaque et stratégiques, elle s’est également portée acquéreuse de sous-marins russes de la classe Kilo. Les cinq SNA de la classe Han ont été mis en service entre 1974 et 1991. Le lancement d’une nouvelle génération de SNA a été décidé. Le nombre de bâtiments prévus n’a jamais été indiqué par la Marine chinoise et varie, selon les experts, entre trois et huit à l’échéance de 2010. -
Ground-Based Midcourse Defense(GMD)
Graziani ha risposto a skyfighter nella discussione Armi superficie-aria
Russia, il riarmo delle forze missilistiche strategiche ________________________________________ Il colonnello generale Nikolai Solovtsov comandante delle forze missilistiche strategiche ha annunciato che la Russia sta rendendo operativi mediamente ogni anno tre sistemi di lancio mobili e tre o quattro fissi. L’annuncio è stato dato dopo che l’8 dicembre era avvenuto un test di lancio di un Icbm (Intercontinental ballistic missile) Topol-M da una rampa a terra e il 17 dicembre un altro Icbm era stato lanciato da un sottomarino nucleare. Per entrambi i missili è stata dichiarata la capacità di superare qualsiasi difesa antimissile. Solovstov ha detto che “il numero dei lanci sarà quasi raddoppiato dopo il 2009 o il 2010”. Secondo un portavoce delle forze missilistiche, la Russia un anno fa disponeva di 44 sistemi Topol-M in postazione fissa e tre su rampe mobili; entro l’inizio del 2008 i sistemi fissi saranno 48. E’ stato detto esplicitamente da Solovstov che gli elementi del sistema antimissile Usa di previsto schieramento nella repubblica Ceca e in Polonia potrebbero costituire obiettivo per il sistemi missilistici russi a lungo raggio. La macchina militare russa continua a mostrare i muscoli, dopo la ripresa dei voli dei bombardieri strategici annunciata dal presidente Putin il 17 agosto e il più recente ritorno della flotta russa nel Mediterraneo. Il confronto sul piano militare è un aspetto preoccupante della fase di involuzione nei rapporti tra Mosca e Washington che dura già da qualche tempo. Secondo uno studio pubblicato da International Security e ripreso in stralcio da Foreign Affairs, gli Usa avrebbero raggiunto la nuclear primacy, la capacità di distruggere al primo attacco gli arsenali strategici di Cina e Russia. Evidentemente la Russia non si è fatta intimidire da questa ipotesi; Putin ha indicato nelle forze nucleari strategiche la priorità dell’armata russa e dopo gli incerti esiti di alcuni test missilistici degli anni passati il potenziale operativo sembra tornato a livelli di visibilità. Lo stesso progetto di schieramento del sistema antimissile Usa in Europa, sulla cui funzione anti-Iran è lecito essere perplessi - potrebbe essere la conferma indiretta di un rinnovato confronto con l’ex nemico. Dietro le dichiarazioni ufficiali da entrambe le parti ci sono percezioni molto diverse, come si può leggere su Moscow Defense Brief nell’articolo intitolato “US Missile Defence In Eastern Europe: The View From Russia”. Secondo l’autore gli Usa perseguono una politica di “livellamento” rispetto agli altri Stati anche attraverso il mantenimento di una “completa superiorità militare”. Il fatto che la Russia possegga capacità nucleari strategiche costituisce un fattore “irritante” anche dal punto di vista psicologico per gli Usa; di qui la decisione di schierare il sistema antimissile in Europa. Lo schieramento avrebbe un doppio effetto sugli Stati destinati a ospitare il sistema. Non sono tanto i presunti vecchi risentimenti anti-russi a spingere repubblica Ceca e Polonia ad accettare la richiesta degli Usa, quanto la consapevolezza della loro collocazione geografica che li rende al tempo stesso trampolino di lancio e zona cuscinetto verso la Russia. “Peggiori diventano le loro relazioni con la Russia, tanto più possono contare sul supporto politico, economico e militare da parte degli Usa”. L’analisi può essere discutibile, ma ciò non toglie che in Russia il problema sia percepito secondo questa visuale. I possibili sviluppi del sistema antimissile Usa in tutte le sue componenti, anche quelle schierate fuori dall’Europa, sono presi a riferimento per definire le capacità nucleari strategiche di cui dovrà dotarsi la Russia. Entro il 2020 gli Usa potrebbero schierare di 1.400 intercettori, contro le 500-600 testate disponibili per mezzi di lancio strategici da parte della Russia. Metà di queste testate potrebbe essere intercettata dai sistemi Usa, mentre un eventuale primo attacco (first strike) degli Usa neutralizzerebbe quasi completamente la capacità di risposta nucleare russa. L’attendibilità di queste valutazioni è tutta da verificare; preoccupa piuttosto l’affermazione secondo cui “dopo l’Iraq non c’è ragione evidente per cui il resto del mondo debba aspettarsi che gli Usa, cioè le élite americane e il popolo americano, si comportino in maniera ragionevole e contenuta quando si considerano minacciati”. La Russia deve quindi mantenere una capacità di ritorsione con Icbm basati a terra e su sottomarini. A parte i numeri indicati in maniera vaga ma in linea di massima coerente con le affermazioni di Solovstov, si cita l’esigenza di un incremento del 20 percento annuo del bilancio della Difesa da dedicare al settore missilistico strategico. Gli effetti negativi che questa decisione potrebbe avere in campo internazionale sul processo di non proliferazione sarebbero meno importanti della necessità per la Russia di mantenere il suo potenziale di deterrenza. Viene infine esaminata la reazione politica in Russia allo schieramento del sistema Usa. La maggioranza dei russi vuole vedere il proprio Paese come “una grande potenza tra i centri di potere globali” … “né satellite degli Usa né membro dell’Unione Europea”. A un forte sentimento anti-occidentale si unisce l’aspirazione a ristabilire la Russia come potenza economica, politica e militare entro i confini territoriali della ex Unione Sovietica. “Il regime di Putin, se non altro, si sta adattando a questi sentimenti, ma certamente non li pilota”, scrive l’autore. Se fosse vero, la situazione sarebbe ancora più preoccupante. -
Secondo me per l'Italia 131 F-35 vanno bene in compenso avrei comprato un numero maggiore di TYPHOON da dedicare alla difesa dello spazio aereo in vista delle mire Russe di tornare a fare la voce grossa. C'è da dire comunque che attualmente l'ITALIA è in una posizione più sicura, perciò è molto dura vedere bombardieri russi invadere il nostro spazio aereo, mentre sra più probabile incrociare i loro sommergibili. 135 F-35 150 TYPHOON 25 UCAV
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ulteriore esempio della disinformazione all'italiana
Graziani ha risposto a Leviathan nella discussione Discussioni a tema
Non sono un imprenditore anche se miro a diventarlo, comunque per me la legge biagi è un ottima legge ma questo non vuol dire che non possa essere migliorata. -
Io sarei anche per FINI premier!!! Che prodi duri cinque anni lo speri solo te e qualche altro irriducibile
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ulteriore esempio della disinformazione all'italiana
Graziani ha risposto a Leviathan nella discussione Discussioni a tema
Si sono felice che la legge Biagi stia funzionando -
IMPORTANTE: LEGGETE TUTTI
Graziani ha risposto a Captor nella discussione INFO sito & segnalazione errori
Qual'è il limite per l'espulsione dal forum??????? -
Quello che più mi fa sorridere è come i senatori a vita casualmente la pensino sempre come la sinistra Sono davvero neutrali caspita!!!!!!!!!!! Dovrà pur finire questo calvario, bisogna sperare solo che gli ultimi anni di questo governo passino in fretta senza che questo distrugga il paese. Eisterà una giustizia divina visto che quella terrena è proprietà dei comunisti FIDUCIA solo FIDUCIA
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La russia si sta risvegliando e noi dovremmo prendere le cose sul serio aumentando la spesa militare e creando una riserva vera e propria stile TERRITORIAL ARMY
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Mosca: "Navi nel Mediterraneo e Atlantico
Graziani ha risposto a redDevil nella discussione Marina Militare
A questo punto bisognerebbe potenziare in maniera decisiva la nostra forza sottomarina e dotarci di moderni aerei antisommergibili. Non è che siamo in guerra però bisogna essere pronti a qualsiasi ecalation internazionale e poi un nemico astuto colpisce sempre dove ci si sente più al sicuro -
Sono daccordissimo con Paladin sull'art.11 della nostra costituzione che spesso viene utilizzato dai comunisti per accusare chiunque voglia partecipare insieme agli USA a guerre preventive. Complimenti Paladin finalmente qualcuno spiega le cose come sono in verità!!!!! Inoltre sono daccordo con Little_Bird sulla questione della cultura della difesa. La maggior parte degli italiani considera la nostra storia militare come una storia fallimentare dove i nemici avevano i fucili laser e gli stivali belli e lucidi mentre noi avevamo scarpe di cartone e moschetti; purtroppo si parla solo della parte negativa della nostra storia mentre invece si dovrebbe parlare delle imprese di Premuda, Alessandria, Gibilterra e delle sanguinose battaglie dove i nostri eroi ricevettero l'onore delle armi. Fonti non ufficiali dicono che nel bollettino dello stato maggiore russo c'era scritto che l'unico reparto che può considerarsi imbattuto sul fronte russo è il reparto degli alpini italiano. Rommel che disse il soldato tedesco ha stupito il mondo, il bersagliere italiano ha stupito il soldato tedesco. Dobbiamo solo convincerci che noi non siamo secondi a nessuno per valore, onore e coraggio e che la forza del nostro popolo ci ha permesso di vincere la prima guerra mondiale completamente da soli.
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Napolitano lasciamolo fuori perchè se no mi arrestano per vilipendio al capo dello stato!!!!!!! Alla CDL importa eccome la sicurezza ma se voi ci chiedete di essere daccordo su quel decreto che solo voi osate definire di sicurezza allora tanto vale lasciare le cose come stanno perchè non saranno quelle trenta persone che avete espulso che renderanno il paese più sicuro. Volete un consiglio? Andatevene a casa che il decreto sulla sicurezza vero e proprio lo facciamo noi, migliaia di espulsi, non trenta!! Mi dispiace ma purtroppo il governo prodi è completamente in balia della stupidità ideologica dei comunisti.
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Ciao e benvenuto!!
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Mi dispiace per te ma prodi e compagni non sono molto ben visti da molti ma molti ITALIANI Se le firme fossero anche 5 milioni sarebbero comunque molte di più delle vostre del partito democratico Berlusconi è solo molto sicuro di sè e di quello che fa e a volte questa sua caratteristica lo porta ad essere un pò presuntuoso, comunque meglio uno come lui che il mortadella. Ah dimenticavo, complimenti per il decreto sicurezza evvai così siamo i migliori, grande amato amato amato amato amato amato CHE VERGOGNA
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Eh si in ITALIA va proprio tutto bene, problemi non ce ne sono e finalmente adesso le famiglie non avranno più problemi a pagare il mutuo Siete così bravi che solo l'80% della popolazione è in piazza a protestare, dai poliziotti ai medici ai camionisti e via dicendo, inoltre i miei genitori non vedono l'ora di pagare le meravigliose tasse di padoa-schioppa. In un momento in cui l'economia mondiale sta passando un buon periodo l'ITALIA cresce meno rispetto agli altri paesi dell'Unione Europea tanto che anche la spagna ci ha sorpassati; non c'è che dire, avete una mentalità di sviluppo economico notevole.
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Complimenti siete stati bravini comunque adesso si gioca veramente contro squadre vere (INTER e non urawa o boca)!!!!!!!!
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TREMONTI: Finanziaria lunare e staccata dal mondo reale Il discorso di Giulo Tremonti pronunciato il 14 dicembre 2007 alla Camera dei deputati sul voto di fiducia alla Finaziaria... Signor Presidente, onorevoli colleghi, signori rappresentanti del Governo, non parlerò solo a voi ma anche ai tanti italiani che dalle loro case ci ascoltano e per tale motivo non comincerò il mio intervento dai grandi numeri del bilancio dello Stato ma da quei piccoli numeri - che però sono grandi - nel bilancio delle famiglie. Un vostro Ministro ha appena affermato in una trasmissione televisiva che tra tante tasse, tutte naturalmente bellissime, ve ne è una che è odiosa: l’inflazione. È odiosa perché non si vota e perché non si vede. Una tassa che non si vede? Signori del Governo, forse siete rimasti gli unici in Italia che non riescono a vederla, mentre tutti gli altri la vedono benissimo. La vedono quando fanno la spesa, ai distributori di benzina e quando pagano le bollette. Dite la verità, anche voi vedete benissimo l’inflazione soprattutto quando caricate le tasse proprio sui prezzi che salgono. Il Presidente Prodi ha affermato che è inutile ridurre le tasse se l’inflazione si mangia tutto. Il signore sì che se ne intende . Un’altra cosa vi sembrerà piccola ma per chi ascolta è grande: le rate sui mutui. Con il disegno di legge finanziaria in esame fate un colossale regalo fiscale alle banche e lo controfinanziate aumentando le tasse all’industria manifatturiera. Sembra veramente una grande idea! Abbiamo chiesto di limitare quel regalo solo alle banche che ricontrattano rate di mutuo in misura umana per le famiglie. Voi avete detto di no! Avete affermato che sarebbe stato un ricatto, perché i regali o sono tali o non lo sono affatto. Evidentemente, per il vostro Governo, per il Governo Prodi tra le famiglie e le banche, queste ultime sono da preferire! Passiamo alle cose "grandi". Vi siete chiesti perché la differenza di rendimento, di costo, tra i titoli pubblici tedeschi e quelli italiani, il cosiddetto spread che misura il rischio Paese, continua a salire? L’ultimo giorno del Governo Berlusconi lo spread era di 20 punti base. Dopo 18 mesi di Governo Prodi lo spread è salito del 50 per cento, a 30 punti base, e oggi è ancora più alto. Perché tutto ciò? Per una ragione molto semplice. La Germania, che solo tre o quattro anni fa versava in una situazione peggiore di quella italiana, con una crescita pari a zero ed un deficit eccessivo, già nel 2006, con il sopraggiungere della ripresa economica, ha raggiunto il pareggio del proprio bilancio. Invece l’Italia ha fatto l’opposto! Non è una nostra affermazione, ma un calcolo fatto all’estero. È stato scritto che il combinato disposto del primo «decreto tesoretto», del secondo decreto e dell’accordo sul welfare, comporta 37 miliardi di spesa pubblica, sostanzialmente senza nessun taglio reale di spesa e, ovviamente, senza nessuna riduzione di entrata. Il partito “tassa e spendi” ha quindi vinto ancora una volta la sua battaglia. Questo scritto non è nostro, è vostro: è del senatore Lamberto Dini. Un altro scritto: gli interventi sulla spesa hanno aumentato l’indebitamento rispetto al tendenziale. Tra il 2008 e il 2010 le uscite aumentano per 11 miliardi, le entrate si abbassano di 10 miliardi. Si imprime all’indebitamento una spinta espansiva, la manovra agisce in senso espansivo anche sul debito. Questi dati devastanti sono scritti nel rapporto numero 3 del CER, un centro di ricerca certo non sospettabile di simpatie per l’opposizione. Cerchiamo di capire cosa è successo. Nel 2006, invece di finirla, avete proseguito la campagna elettorale, avete continuato a dire «i conti sono allo sfascio, siamo sopra il 4 per cento». Avete creduto ai cosiddetti tecnici e avete fatto un colossale errore politico. Nel 2006 il deficit era già al 2,3 per cento: lo avete scritto voi nel DPEF. Su quel 2,3 per cento, per arrivare comunque sopra il 4 per cento, avete gonfiato il rimborso dell’IVA auto. Ieri voi stessi avete scritto che quel rimborso, cifrato all’inizio per 16 miliardi di euro, è stato alla fine in realtà soltanto di 800 milioni. La finanziaria dell’anno scorso è stata dunque totalmente inutile. Il deficit andava nel 2006 già al 2,3 per cento e, quello che è più significativo, è rimasto lo stesso anche dopo la finanziaria. Avete semplicemente alzato le tasse, ma parallelamente avete alzato anche la spesa pubblica. Sui libri di storia, sui libri della sinistra, si legge che la spesa pubblica fa avere consenso popolare, ma solo se è keynesiana, cioè se è fatta in deficit. Su quei libri si legge che la spesa pubblica produce, invece, l’effetto opposto, e cioè non dà consenso ma dissenso, se è finanziata con le tasse, soprattutto se le tasse sono messe verso il basso, ad esempio, con addizionali comunali, bolli auto, IVA sul riscaldamento, come avete fatto voi. Così facendo siete stati certo keynesiani, ma, esempio unico nella storia politica europea, lo siete stati all’incontrario: keynesiani con le tasse. Da allora non è sceso il deficit pubblico, è sceso il consenso popolare del vostro Governo. Da allora niente più è stato e sarà più come prima, a partire dal consenso che vi viene negato da tanti vostri elettori. Una curiosità: come la mettiamo con la lotta all’evasione fiscale? Appena ieri ci avete detto che era proprio la lotta all’evasione fiscale a generare continui tesoretti. Ora ci annunciate, invece, che non ci saranno più tesoretti. Le risorse che mancano per arrivare, solo fra quattro anni, al pareggio di bilancio bisognerà, dite voi, cavarle fuori dal bilancio pubblico, vale a dire tagliandolo. Cosa è successo, onorevoli colleghi? In Italia non c’è più l’evasione fiscale? Non ci sono più i tesoretti. O in realtà è successo che, per la prima volta, ci dite la verità: e cioè che i tesoretti non li portava la propaganda, ma solo l’economia che andava bene e che proprio per questo, ora che l’economia va male, non ci sono più tesoretti. Onorevoli colleghi, volete dirci perché la crescita dell’IVA si è fermata? Perché avete forse smesso la vostra implacabile lotta all’evasione fiscale? Ce lo volete spiegare? In realtà, l’unica cosa seria fatta contro l’evasione fiscale è stata la riforma della riscossione realizzata dal Governo Berlusconi. Ed avviene lo stesso oggi con la partecipazione dei comuni all’accertamento, sempre realizzata dal Governo Berlusconi. Queste sono le cose serie, il resto è propaganda. Il Mezzogiorno lo avete "sbianchettato". Non solo non avete fatto quello che avete promesso in campagna elettorale, ma avete azzerato quello che c’era prima, dal fondo per le aree sottoutilizzate ai crediti di imposta: al sud chi ci ascolta lo capisce. In ogni caso non sarete voi a “sbanchettare” il sud, sarà il sud a “sbanchettare” voi .In conclusione, questa è una finanziaria lunare, staccata dal mondo reale, da come vive e sente la gente, le imprese e le famiglie. È una finanziaria scritta in un tempo che è già passato, per un mondo che nel frattempo è radicalmente cambiato in peggio. Tuttavia, voi continuate a far finta di niente; sovrastimate la crescita, sottostimate l’inflazione, peggiorate l’indebitamento e puntate solo sulla speranza della crescita delle tasse. Vedete, la peggiore sorte che può capitare gli italiani è che restiate; la peggiore sorte che vi può capitare è che restiate, perché domani, se resterete attaccati a tutti i costi al vostro Governo, sarete chiamati a pagare, con interessi a crescere, proprio i vostri errori di oggi! Vedo che, a differenza del solito, non ridete più; ciò vuol dire che avete finalmente capito quello che gli italiani avevano già capito da tanto tempo. Per questo motivo, come la stragrande maggioranza degli italiani, noi in quest’aula non vi diamo la nostra fiducia
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Partito democratico / della libertà
Graziani ha risposto a VittorioVeneto nella discussione Discussioni a tema
Fini in questo momento sta godendo picchi di popolarità molto elevati e questo non potrà che giovare al partito infatti i sondaggi danno ALLEANZA NAZIONALE al 15%. Non so però se un'alleanza con la "estrema" destra possa essere una cosa giusta per il semplice fatto che potrebbe far pensare che ci sia in atto un ritorno al passato. GRAZIE PER IL COMPLIMENTO ALLA FIRMA -
Partito democratico / della libertà
Graziani ha risposto a VittorioVeneto nella discussione Discussioni a tema
Dal quotidiano "Libero" pag. 8 di Mercoledì 12 dicembre 2007 - La diaspora neofascista - Una Federazione di estrema destra. La Fiamma lancia la "Cosa Nera" Una federazione di partiti di destra. Un pò sul modello della "cosa rossa", ma composta da partiti e partitini dell'area radicale. Magari con Alleanza nazionale a fare guida, se ci sta. E se lascia perdere le suggestioni neocentriste e i pranzi con Casini e Montezemolo. L'idea è venuta a Luca Romagnoli, segretario della Fiamma Tricolore. La mette in questi termini: "Oramai si va verso uno schema non bipartitico, ma semplificato. I partiti si federano, la sinistra radicale ha dato l'esempio superando veti e odii reciproci. E allora perchè non farlo anche noi?", domanda Romagnoli. A prendere l'iniziativa, però dovrebbe essere Gianfranco Fini: "Parta lui. Coinvolga tutti, anche i suoi ex dirigenti di partito", propone Romagnoli. Berlusconi? "All'inizio c'avevamo creduto, almeno fin quando parlava di federazione. Io", dice il leader della Fiamma, "ho firmato per far cadere il governo Prodi ai suoi gazebo. Per poi scoprire che il mio euro, versato alla causa, era servito a sfasciare il centrodestra". Romagnoli, che ieri al Parlamento europeo è stato ammesso al gruppo dell'Uen, lo stesso in cui milita An, ammette che ne recinto della destra estrema non cè propriamente un clima da fiori d'arancio. "Però", ammonisce, "dovremmo cercare di mettere da parte i personalismi. Per senso di responsabilità. E perchè ce lo chiede la gente. Se non fossimo stati così frammentati, alle ultime Politiche, avremmo superato Rotondi e il Nuovo Psi, e anche i numeri in Senato sarebbero diversi". Fini, insomma, "si deve dare una mossa. Faccia il leader della destra, invece di inseguire il centro". Già. Ma gli altri neofascisti che ne pensano? Negli ambienti di ultradestra certe fratture sono vecchie di decenni. E alcune di queste sono insanabili. Adriano Tilgher, per esempio, non ci pensa proprio a fare cordata con i suoi dirimpettai: "Secondo me è improponibile", taglia corto il segretario del Fronte sociale nazionale. Motivo? "Sono tutte prime donne, e io sono profondamente deluso dall'ambiente. Ovvio, posso anche ascoltare le proposte che arrivano, ma rimango molto scettico su una possibile sintesi. Le basti questo dato: qualche anno fa, quando avevamo cominciato a parlare di riunire la destra radicale, c'erano tre partiti. Ora sono otto o nove". Da Alessandra Musolini, incece arriva un nì. "Bisogna prima aspettare la legge elettorale, capire qual'è lo strumento" E poi? L'obiettivo principale, per il leader di Azione Sociale, "deve essere la ricomposizione del centrodestra. Fini, Casini e Berlusconi devono tornare insieme. E ci vuole un sistema di voto che li obblighi a farlo". Possibilista pure Francesco Storace. Anche se molto scettico sul risultato: "Alla costituente della Destra avevo lanciato un appello all'unità. Anzi", aggiunge Storace, ho fatto più: mi sono detto disponibile a un passo indietro, nel caso in cui il problema fossi stato io. La verità è che se si vogliono tenere in piedi le vecchie case, non si va da nessuna parte", sospira l'ex ministro.